Foto: Ángel Martínez Levas

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Inventario 28417
Clasificación Genérica Correspondencia
Objeto/Documento Carta
Autor/a Ontz
Título Carta de la señora Ontz, escritora y del señor l´advocat, por la que se lamentan de unas críticas que han recibido por parte del señor Debourren
Conjunto Correspondencia de escritores franceses y del editor Ladvocat
Materia/Soporte Papel
Técnica Manuscrito
Dimensiones Altura = 20,20 cm; Anchura = 12,60 cm
Descripción Hoja doblada en dos, en formato vertical escrita por las caras 1ª, 2ª, 3ª y 4ª.
Inscripciones/Leyendas Francés
[1] J´envoie à Monsieur l´advocat / un article pour les Cent et un que mon / fils m´a chargé de lui offrir. Ce que ma / maladie m´avait fait oublier. Je ne / m´ètais pas encore levée et n´avais / pas pu aller jusqu´à ma biblioteque. / Ce que j´ai fait hier pour la première / fois. J´ai pris l article et je l´envoie / à monsieur l´advocat. Je le juge / un peu long, mais s´il y a des corrections / à faire je ne m´encharge pas. / J´ai de la copie prête mais j´ai à / placer en l´endroit que j envoie une / [2] Conversation de l´empereur dont / l´interlocuteur m´ecrit les moindres / mots. C´est une des curieuses choses possibles / Celà me retarde seul dans l envoi de / ma nouvelle copie. Je la donnerai / Ce soir ou demain matin. / J´ai appris que monsieur de villemarest / S´ètait plaint que j´ eusse refusé m. debourren / et s´en ètait plaint avec aigreur comme ayant / fais les mémóires de cet homme. Je tiens le / fais de la personne même à la quelle il l´adit. / Ceci est une chose dont je ne m´excuse méme / pas et c´est moi qui à bon droit pouvais / me facher de trois attaques aussi fausses / qu´injurieuses sur le caractère de mon / mari. Si le nde..mile été seul en jeu / et certes jamais il y eut un. homme / [3] Qu´y pretal mois que lui, encore passe / Comme disent les bonnes femmes mais son / Honneur étranglé, la noblesse de son âme / chose que jamais un être humain ne mit / en doute! . or il ent été trop fort aussi / que faisant des mémoires je ne refutasse / pas ces attaques. Il le fallait pour empêcher / mes fils (alfred surtout) de le fairè d´une / autre manière. Je suis fachée que celà ait / été deságreable à monsieur de villemarest / mais lui même doit me comprendre. / C´est Comme m. de las cases parce que mon / mari lui a pris une maitesse voilà un / homme qui ecrit une foule de mensonges, / melé peut être à quelques mots de vérité / et qui pour montrer sa passion intitule / un chapitre dejemat et des a femme, / J´ans l evoulais et par mechanceté il nous / [4] donne plus de celébrité que je n´en / devrais pour tous deux, mais son / article est encore et sera l´objèt d une / reputations dans le comique tant en / travers du seriéux sera la plus juste / et la plus grande force. Je rèpète / tous mes regrets à monsieur de villemarest / car Il a été si aimable pour moi en toute / circunstance quel conque d auglemant / me rèpeta cetait j´en tres affigé mais / je le répete il doit me comprendre. La / mèmoire du perè de mes enfants est un / du objets Laissés qui doivent être pour / moi comme deifie dans mes mémoirés / comme ils le sont dans mon âme./ Notre amities à monsieur. L´advocat La dame ONTZ
Firmas/Marcas/Etiquetas Francés
Notre amities à monsieur. L´advocat La dame ONTZ / [Rubricado]
Datación 1776=1875
Descriptores Onomásticos Debourren
Villemarest
Ladvocat, Pierre-François
Clasificación Razonada Este documento forma parte del fondo de cartas autógrafas reunido por el marqués de Cerralbo (1845-1922), conservado en la Biblioteca de su casa-museo, que legó al Estado junto con sus colecciones artísticas. Fondo compuesto de apenas cincuenta cartas, en su mayor parte firmadas por personajes ilustres de la Historia de Francia o referentes a ellos, en algunos casos se conservan las carpetillas utilizadas en su venta, con textos impresos, en francés, sobre la carpetilla o en etiquetas recortadas y pegadas. Es probable que todas las cartas fueran adquiridas en París, donde el Marqués asístió a muchas subastas en la década de los setenta, casi todas celebradas en el Hotel Drouot y donde compró, en 1878 varios lotes procedentes de la colección de cartas autógrafas de Laurent Veydt. En el caso del lote al que pertenece esta carta, su procedencia no está documentada.
Pierre-François Ladvocat, librero y editor francés, establecido en París en 1817, fue uno de los grandes editores de los escritores románticos. Dueño de la librería de moda durante la Restauración, ubicada en la Galerie-de-Bois du Palais-Royal- no sólo se dedicó al comercio de libros sino impulsó, mediante un mecenazgo infatigable, la obra de jóvenes escritores que habrían de convertirse en escritores consagrados del Romanticimo: Delavigne, Victor Hugo, Claire de Duras, Alfred de Vigny, Laure Junot d´Abrantès, Lamartien, Chateaubriand; también publicó traducciones de Byron y Shakespeare al francés y se dedicó a la edición teatral, publicando las grandes obras teatrales del teatro universal. Falleció en la miseria y el carácter épico de su destino fue retratado por Balzac en un personaje de su Comedia humana [fuente: Wikipedia].
Fue el editor de las memorias de la duquesa de Abrantes, publicadas en varios tomos entre 1831 y 1835: Mémoires de Mme la duchesse d´Abrantes ou souvenirs historiques sur Napoléon, la Révolution, le Directoire, le Consulat, l´Empire et la Restauration Mémoires de Mme la duchesse d´Abrantès. París, Souvenirs sur Napoléon.
Catalogación Martínez del Cerro González, Victoria (02/06/2011)
Granados Ortega, Mª Ángeles (22/07/2011)
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